Thursday 19 January 2012
Sunday 1 January 2012
HISTOIRE DU FER FORGÉ
L'âge de fer
Très officiellement, le début de l'âge du fer est daté de 1100 avant notre ère pour les régions méditerranéennes et de 700 avant notre ère pour l'Europe centrale. A cette époque il est difficile de parler déjà de métiers relatifs aux métaux et de différencier les forgerons, les fondeurs, les ferronniers ou les métallurgistes.
Les archéologues parlent dans certains cas d'un premier et d'un second âge du fer, afin de dissocier les évolutions entre les régions, en différenciant, par exemple, les sites archéologiques de Hallstatt en Autriche, à partir desquels on peut définir des traits de culture.
En effet, il existe, selon les lieux, des âges du fer à des époques différentes. L'acquisition de la métallurgie du fer est une étape importante dans l'histoire des sociétés, notamment par son retentissement sur les techniques agricoles et minitaires et son rôle dans la mise en place des pouvoirs. Il est certain que l'augmentation des quantités de fer produites, la spécialisation qui a pu en résulter dans l'organisation de la production n'ont pu qu'influencer notablement l'évolution des pouvoirs professionnels et politique et leur répartition.
Mais les modalités de l'intervention du fer puis du métal dans le temps et dans l'histoire politique sont difficiles à mettre en évidence.
Les premières traces écrites
Les premiers écrits qui font mention du mot «fer» sont des tablettes cappadociennes découvertes dans l'ancienne ville de Kanesh, datées de la première moitié du II e millénaire avant notre ère. Le minerai de fer, l'asium, y est distingué du lingot de fer, l'amatum.
Au XVIII e siècle avant notre ère, à Alalakh (sur la frontière turco-syrienne), des tablettes cunéiformes hittites signalent une production d'armes en fer. Les textes hittites des XV e et XIV e siècles avant notre ère mentionnent un trône en fer forgé sur place, tandis qu'une lettre d'Amarna (Egypte) mentionne, au XIV e siècle, un poignard à lame de fer. Il est également fait référence à la «lettre» de Hattousili, dans laquelle ce roi hittite s'excuse de ne pas pouvoir envoyer plus de fer de Kizzouwatna.
Cette lettre date de 1275 à 1250 avant notre ère.
Il est nécessaire de rappeler qu'à l'époque, les armes de poings (épées et boucliers) et les pointes des flèches et des javelots sont coulées exclusivement en bronze. Il va de soi que celui qui maitrise la fabrication d'armes en fer possède un avantage stratégique lors des combats.
Parmi les sources les plus citées de l'Antiquité, Hésiode 800/700 ans avant notre ère et Homère font de nombreuses allusions à la fabrication et à l'utilisation du métal. On trouve des écrits Chinois qui concernent le fer en 700 avant notre ère.
Grâce aux Grecs puis aux Romains, l'usage du fer va se libéraliser. Les premières corporations de métalliers, forgerons et ferronniers sont reconnues partout en Europe et autour de la méditerranée.C'est à cette époque que l'on note les premières annotations concernant les portails, les grilles défense, les panneaux décoratifs, les pointes de lance, les garnitures décoratives, les poteaux et autres accesoires en fer forgé
Durant l'époque Gallo-Romaine puis au moyen-âge, on trouve très peu de textes traitant directement des activités métallurgiques, mais l'on retrouve encore aujourd'hui les descriptions de l'usage du fer, que ce soit pour des outils ou dans la construction.
Si l'on retrouve assez souvent des textes citant les différentes corporations mais également les noms des principaux métiers en relation avec le fer. Il faudra attendre le XV eme siècle pour trouver les premiers traités spécialisés, qui apportent des renseignements précis sur l'élaboration du métal et la fabrication des objets. Les appellations des différents métiers apparaissent officiellement, et déjà on trouve sous des différences d'orthographe les traces des premiers ferronniers ou feronniers, les forgerons, les enclumes oeuvrant dans des forges, des forgeries et les forgerons.
La technique de transformation
Les techniques de la métallurgie ont été importées des régions qui disposaient de minerai, et plus particulièèrement d'Anatolie, d'Arménie ou du Caucase. On sait déjà que le cuivre est le premier métal utilisé à des fins "industrielles" et c'est le travail de ce métal qui est à la base de la technique métallurgique proche-orientale. Le minerai était concassé, fondu dans un four ou un fourneau muni de soufflets, puis martelé et refondu avant d'être éventuellement allié â un autre métal, comme le cuivre et l'étain pour produire du bronze.
Depuis le 3 e millénaire, on sait aussi purifier les métaux précieux, or et argent, par coupellation, en faisant fondre le minerai dans un récipient poreux, afin de faire disparaître les impuretés. Les livraisons d'or donnaient parfois lieu à des réclamations quant à leur quantité lorsqu'aprè coupellation, on s'aperçevait que le poids avait diminué puisqu'une partie des impuretés a été éliminée. Le métal précieux ou vulgaire pouvait être moullé, fondu â la cire perdue ou par martelage. On a retrouvé des moules en pierre ou en argile présentant la forme, en creux, de bijoux ou d'outils.
L'utilisation des métaux Quelque soit le métal, ils ont servi à fabriquer de très nombreux objets, et en particulier des parures, des outils et des armes. Les fouilles archéologiques permettent de retrouver souvent des épingles en bronze servant â attacher les cheveux et des miroirs de bronze. Les outils retrouvés sont des clous, des pelles, des grattoirs, des haches ou des scies.
Les principales armes, en bronze ou en fer, sont des épées, des poignards, des lances et des pointes de flèches. L'or, considéré notamment en Egypte comme la chair des Dieux n'était utilisé que pour des travaux de bijouterie, ou pour décorer les statues divines. Quant â l'argent, aussi utilisé pour la bijouterie, il servait de moyen de paiement, sous forme de petits morceaux pesés â chaque transaction.
Plus tard, â partir de l'époque romaine les objets les plus usuels sont utilisés dans tous les domaines et de plus en plus dans la construction. C'est ainsi qu'apparaissent des grilles de défense, des clous pour renforcer les portes en bois, des herses pour protéger les maisons fortifiées, puis les chateaux. Mais aussi des fers pour renforcer les sabots des chevaux, des campaniles pour les clochers des églises du sud de la France, d'Italie, d'Espagne et de Grêce.
Le fer Trè ductile et malléable, le fer peut être modelé sans avoir à le faire fondre. Pour pouvoir obtenir de bonnes propriétés mécaniques le fer doit être particulièrement pur. Il peut être modifié par adjonction de faibles porportions de carbone (entre autres), ou par divers traitements thermiques. Au contact de l'eau ou d'acides, le fer subit une importante corrosion. C'est pour cette raison qu'il subsiste peu d'objets anciens façonnés en fer ou en métal alors qu'on en retrouve une grande quantité en or, en argent ou en cuivre.
De nos jours L'industrie sidérurgique est un levier considérable de toutes les économies. Les professionnels du fer, ferronniers, forgerons et tant d'autres ont largement amélioré les techniques de travail de ce métal. ont permis de concevoir des concepts particulièrement élaborés pour façonner le fer et le forger. Grâce à ces professionnels des milliers de pièces sont fabriquées quotidiennement, et notamment par Eurofer, leader Européen du fer forgé.
Au bout de la chaine de fabrication, Fer Forgé Industrie a le privilège de commercialiser tous ces produits et de vous les présenter grâce à ces catalogues et à ce site internet.
Nous souhaitons que cette rapide présentation vous ait intéressé et vous aide dans le choix qui est maintenant le vôtre. Nous vous souhaitons un bon surf.
Très officiellement, le début de l'âge du fer est daté de 1100 avant notre ère pour les régions méditerranéennes et de 700 avant notre ère pour l'Europe centrale. A cette époque il est difficile de parler déjà de métiers relatifs aux métaux et de différencier les forgerons, les fondeurs, les ferronniers ou les métallurgistes.
Les archéologues parlent dans certains cas d'un premier et d'un second âge du fer, afin de dissocier les évolutions entre les régions, en différenciant, par exemple, les sites archéologiques de Hallstatt en Autriche, à partir desquels on peut définir des traits de culture.
En effet, il existe, selon les lieux, des âges du fer à des époques différentes. L'acquisition de la métallurgie du fer est une étape importante dans l'histoire des sociétés, notamment par son retentissement sur les techniques agricoles et minitaires et son rôle dans la mise en place des pouvoirs. Il est certain que l'augmentation des quantités de fer produites, la spécialisation qui a pu en résulter dans l'organisation de la production n'ont pu qu'influencer notablement l'évolution des pouvoirs professionnels et politique et leur répartition.
Mais les modalités de l'intervention du fer puis du métal dans le temps et dans l'histoire politique sont difficiles à mettre en évidence.
Les premières traces écrites
Les premiers écrits qui font mention du mot «fer» sont des tablettes cappadociennes découvertes dans l'ancienne ville de Kanesh, datées de la première moitié du II e millénaire avant notre ère. Le minerai de fer, l'asium, y est distingué du lingot de fer, l'amatum.
Au XVIII e siècle avant notre ère, à Alalakh (sur la frontière turco-syrienne), des tablettes cunéiformes hittites signalent une production d'armes en fer. Les textes hittites des XV e et XIV e siècles avant notre ère mentionnent un trône en fer forgé sur place, tandis qu'une lettre d'Amarna (Egypte) mentionne, au XIV e siècle, un poignard à lame de fer. Il est également fait référence à la «lettre» de Hattousili, dans laquelle ce roi hittite s'excuse de ne pas pouvoir envoyer plus de fer de Kizzouwatna.
Cette lettre date de 1275 à 1250 avant notre ère.
Il est nécessaire de rappeler qu'à l'époque, les armes de poings (épées et boucliers) et les pointes des flèches et des javelots sont coulées exclusivement en bronze. Il va de soi que celui qui maitrise la fabrication d'armes en fer possède un avantage stratégique lors des combats.
Parmi les sources les plus citées de l'Antiquité, Hésiode 800/700 ans avant notre ère et Homère font de nombreuses allusions à la fabrication et à l'utilisation du métal. On trouve des écrits Chinois qui concernent le fer en 700 avant notre ère.
Grâce aux Grecs puis aux Romains, l'usage du fer va se libéraliser. Les premières corporations de métalliers, forgerons et ferronniers sont reconnues partout en Europe et autour de la méditerranée.C'est à cette époque que l'on note les premières annotations concernant les portails, les grilles défense, les panneaux décoratifs, les pointes de lance, les garnitures décoratives, les poteaux et autres accesoires en fer forgé
Durant l'époque Gallo-Romaine puis au moyen-âge, on trouve très peu de textes traitant directement des activités métallurgiques, mais l'on retrouve encore aujourd'hui les descriptions de l'usage du fer, que ce soit pour des outils ou dans la construction.
Si l'on retrouve assez souvent des textes citant les différentes corporations mais également les noms des principaux métiers en relation avec le fer. Il faudra attendre le XV eme siècle pour trouver les premiers traités spécialisés, qui apportent des renseignements précis sur l'élaboration du métal et la fabrication des objets. Les appellations des différents métiers apparaissent officiellement, et déjà on trouve sous des différences d'orthographe les traces des premiers ferronniers ou feronniers, les forgerons, les enclumes oeuvrant dans des forges, des forgeries et les forgerons.
La technique de transformation
Les techniques de la métallurgie ont été importées des régions qui disposaient de minerai, et plus particulièèrement d'Anatolie, d'Arménie ou du Caucase. On sait déjà que le cuivre est le premier métal utilisé à des fins "industrielles" et c'est le travail de ce métal qui est à la base de la technique métallurgique proche-orientale. Le minerai était concassé, fondu dans un four ou un fourneau muni de soufflets, puis martelé et refondu avant d'être éventuellement allié â un autre métal, comme le cuivre et l'étain pour produire du bronze.
Depuis le 3 e millénaire, on sait aussi purifier les métaux précieux, or et argent, par coupellation, en faisant fondre le minerai dans un récipient poreux, afin de faire disparaître les impuretés. Les livraisons d'or donnaient parfois lieu à des réclamations quant à leur quantité lorsqu'aprè coupellation, on s'aperçevait que le poids avait diminué puisqu'une partie des impuretés a été éliminée. Le métal précieux ou vulgaire pouvait être moullé, fondu â la cire perdue ou par martelage. On a retrouvé des moules en pierre ou en argile présentant la forme, en creux, de bijoux ou d'outils.
L'utilisation des métaux Quelque soit le métal, ils ont servi à fabriquer de très nombreux objets, et en particulier des parures, des outils et des armes. Les fouilles archéologiques permettent de retrouver souvent des épingles en bronze servant â attacher les cheveux et des miroirs de bronze. Les outils retrouvés sont des clous, des pelles, des grattoirs, des haches ou des scies.
Les principales armes, en bronze ou en fer, sont des épées, des poignards, des lances et des pointes de flèches. L'or, considéré notamment en Egypte comme la chair des Dieux n'était utilisé que pour des travaux de bijouterie, ou pour décorer les statues divines. Quant â l'argent, aussi utilisé pour la bijouterie, il servait de moyen de paiement, sous forme de petits morceaux pesés â chaque transaction.
Plus tard, â partir de l'époque romaine les objets les plus usuels sont utilisés dans tous les domaines et de plus en plus dans la construction. C'est ainsi qu'apparaissent des grilles de défense, des clous pour renforcer les portes en bois, des herses pour protéger les maisons fortifiées, puis les chateaux. Mais aussi des fers pour renforcer les sabots des chevaux, des campaniles pour les clochers des églises du sud de la France, d'Italie, d'Espagne et de Grêce.
Le fer Trè ductile et malléable, le fer peut être modelé sans avoir à le faire fondre. Pour pouvoir obtenir de bonnes propriétés mécaniques le fer doit être particulièrement pur. Il peut être modifié par adjonction de faibles porportions de carbone (entre autres), ou par divers traitements thermiques. Au contact de l'eau ou d'acides, le fer subit une importante corrosion. C'est pour cette raison qu'il subsiste peu d'objets anciens façonnés en fer ou en métal alors qu'on en retrouve une grande quantité en or, en argent ou en cuivre.
De nos jours L'industrie sidérurgique est un levier considérable de toutes les économies. Les professionnels du fer, ferronniers, forgerons et tant d'autres ont largement amélioré les techniques de travail de ce métal. ont permis de concevoir des concepts particulièrement élaborés pour façonner le fer et le forger. Grâce à ces professionnels des milliers de pièces sont fabriquées quotidiennement, et notamment par Eurofer, leader Européen du fer forgé.
Au bout de la chaine de fabrication, Fer Forgé Industrie a le privilège de commercialiser tous ces produits et de vous les présenter grâce à ces catalogues et à ce site internet.
Nous souhaitons que cette rapide présentation vous ait intéressé et vous aide dans le choix qui est maintenant le vôtre. Nous vous souhaitons un bon surf.
Galerie porte en fer forge
Ce sont les portes typiques de la région de Nefta et Tozeur. Les montants des portes sont fabriqués à partir du bois d' abricotier, bois très résistant et répandu dans tout le Djérid. Les lattes sont faites de bois de palmier. Pour les traiter contre les mites et les champignons, les ancêtres déposaient les troncs de palmiers pendant plusieurs mois dans le chott (lac salé), avant toute utilisation. Vous remarquerez que chaque porte dispose de trois heurtoirs, chacun a une sonorité particulière et ainsi le maître ou la maîtresse de maison peut reconnaître s'il s'agit de la visite d'une femme, d'un homme ou d'un enfant. Ces heurtoirs sont disposés d'une certaine manière: le heurtoir pour homme est sur le montant droit, celui de la femme sur le montant gauche et celui de l'enfant, plus petit, sur le montant droit mais nettement plus bas que les autres.
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Porte en métal Portail en fer forgé
Vente de portails en fer forgé à la ferronnerie d'art Présence Forge
Détail d'un portail en fer forgé
Le portail sert à délimiter et à sécuriser une propriété, certes... mais il est plus que cela : l'idée d'enceinte par la clôture, la grille d'entrée crée le 'lieu', l'aire privée de son propriétaire.Le cadre du portail en fer forgé est généralement réalisé en tube, d'une section adaptée à la taille de l'ouverture.
La partie supérieure du cadre est enroulée en volutes réalisées à la forge.
Les barreaux verticaux se terminent en motifs cintrés à la forge et suivent le 'rampant' du fer plat du cadre supérieur.
Le style du portail en métal doit être en harmonie avec les autres ouvrages extérieurs forgés : appuis de fenêtre, balcons, grilles de défense...
Caractéristiques du portail automatisé [photo de droite] :
Photo d'un portail en fer forgé
- Longueur : 4,00 m - Hauteur : 2,75 m.
- Les ventaux sont supportés par deux pilliers métalliques tôlés en partie basse et consitué d'un motif forgé.
- Le portail est cintré en chapeau de gendarme grâce à deux fers plats parallèles percés pour recevoir des fers de lance et des appointis.
- Les volutes forgées sont réalisées au rampant, c'est à dire étirées selon la forme du cintrage.
- Décorations : appointis, fers de lance, volutes au rampant et cercles.
- Finition peinture martelée "chataigne".
Lit en fer forgé
Vente de lit en métal imaginé et créé à la ferronnerie d'art Présence Forge
Lit en fer forgé (taille 140) réalisé pour une maison du XIIème siècle.Tous les éléments ont été forgés et façonnés sur l'enclume.
L'esthétique générale du lit en fer forgé est l'expression de techniques d'assemblage spécifiques :
- rivetage du décor de la tête de lit métallique,
- trous renflés,
- façonnage de l'extrémité des barreaux.
Travail de forge effectué sur la tête de lit :
- Fers plats amincis aux extrémités,
- Le cintrage central est assemblé par deux trous renflés à la structure de la tête de lit.
Vente de rampes d'escalier en fer forgé par la ferronnerie d'art Présence Forge
Vente de rampes d'escalier en fer forgé par la ferronnerie d'art Présence Forge
La rampe d'escalier est une pièce maîtresse des aménagements intérieurs ou extérieurs. Elle requiert d'être en parfaite adéquation avec le style de l'habitat.Dans l'exemple de cette réalisation (cf photo), la rampe est dite 'à l'anglaise'. Barreaux et poteaux sont ainsi fixés en bout de marche.
Ceux-ci sont assemblés à la main courante par vis, ce qui permet d'éviter les bourrelets inesthétiques de soudure.
Le motif forgé peut être traditionnel (volutes ouvragées, motifs géométriques, motifs en croix...) ou contemporain.
Dans le cas d'une rampe débillardée, la forme du motif suit la courbe de la rampe.
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Rampe d'escalier en fer forgé
Rampe d'escalier en fer forgé
Caractéristiques de la rampe d'escalier [photo de droite] :
- La rampe en fer forgé est réalisée par panneaux.
- Un motif forgé assure la liaison entre la lisse haute et la main courante en laiton.
- Un travail de forge a été réalisé sur les motifs centraux afin qu'ils passent de façon alternative devant et derrière le barreaudage vertical torsadé.
- Assemblage des motifs par colliers en laiton.
- Départ de rampe avec jambe de force débillardée.
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Ferronnerie de Pareloup à Bouillargues
Vente de rampes d'escalier en fer forgé par la ferronnerie d'art Présence Forge